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Comment une épreuve a réveillé en moi la femme que j’avais oubliée

Comment une épreuve a réveillé en moi la femme que j’avais oubliée

Parfois, la vie nous impose un arrêt brutal. Un événement inattendu, une rupture, une perte, un choc. On croit que tout s’effondre, que plus rien ne sera jamais comme avant. Et c’est vrai. Mais ce que l’on ne nous dit pas, c’est que dans cet effondrement, une autre femme peut émerger. Une femme plus libre, plus consciente, plus ancrée.

C’est ce que j’ai vécu à 25 ans.

Le point de rupture : quand tout s’arrête

Décembre 2015. Tout s’effondre. Plus de repères, plus d’envies, plus d’élan. Mon corps me lâche, ma tête est en vrac, mon cœur vidé. Et pourtant, la vie frappe à la porte : je découvre que je suis enceinte. C’est à la fois une secousse et un miracle. Une épreuve, mais aussi un appel. Je comprends que je dois me reconstruire, pour moi… et pour elle.

Déconstruction et renaissance

Pendant plusieurs mois, je vis au ralenti. Mais ce temps de latence me permet de voir ce que je refusais de regarder : mes blessures, mes croyances limitantes, mes loyautés inconscientes. J’ai appris que notre cerveau peut mettre certaines choses « en pause » pour nous protéger. Et que cette pause peut devenir une passerelle vers la renaissance.

Les outils qui m’ont soutenue

La Programmation Neuro-Linguistique (PNL), l’écriture, les lectures inspirantes, les cercles de femmes… Petit à petit, je me suis reconnectée à celle que j’étais avant les blessures. Mais surtout, j’ai rencontré celle que je devenais : une femme plus forte, plus douce, plus enracinée.

La mission qui m’a appelée

Ce chemin de reconstruction a réveillé une mission enfouie en moi : accompagner d’autres femmes à faire ce même voyage. Celui du retour à soi, du choix de guérir, du courage d’exister pleinement.

Aujourd’hui, je le fais à travers mes carnets, mes ateliers, mes écrits. Pas pour donner des leçons. Mais pour tendre la main à celle qui, comme moi, a un jour cru qu’elle ne s’en sortirait pas.


Tu n’es pas brisée. Tu es en transformation. Et cette transformation mérite d’être honorée.


Tu n’as pas à choisir entre douceur, puissance et ambition

Tu n’as pas à choisir entre douceur, puissance et ambition

On m’a souvent dit que je devais “me poser”, “choisir un seul truc”, “calmer mes envies”.
Mais si la vraie réussite, c’était justement d’incarner toutes tes facettes ?
Maman. Femme. Leader. Créatrice. Guérisseuse. Libre.

Pendant longtemps, j’ai cru qu’il fallait choisir. Être forte ou douce. Être mère ou ambitieuse. Être spirituelle ou stratégique. Jusqu’au jour où j’ai compris : cette injonction était une illusion.

L’imposture du « choix nécessaire »

On nous apprend à rentrer dans des cases. À calmer nos élans. À faire plaisir. À choisir entre « réussir sa vie » ou « réussir dans la vie ». Mais si on cessait de croire à cette fausse dualité ?

Mon propre chemin

J’ai étudié le marketing digital. J’ai travaillé dans des agences. J’ai vécu des traumas. J’ai mis au monde quatre enfants. J’ai connu des effondrements. Et un jour, j’ai choisi d’honorer toutes mes facettes.

Celle qui guide. Celle qui doute. Celle qui crée. Celle qui pleure. Celle qui rêve grand.

Créer sa propre définition du succès

Mon succès ne ressemble pas à celui des autres. Il est tissé de sens, de simplicité, de connexions vraies. Il est fait de silences, de mots écrits avec l’âme, d’enfants qui rient, de clientes qui renaissent.

Le message que je veux te transmettre

Tu n’es pas « trop ». Tu es complète.
Tu n’as pas à choisir entre les morceaux de toi.
Tu es venue pour incarner tout ce que tu es.

Et ça commence maintenant.


Et si ta vraie puissance, c’était d’oser être entière ?

Et si ton organisation révélait ta guérison ?

Et si ton organisation révélait ta guérison ?

On pense souvent que l’organisation est une affaire de to-do list ou de rigueur. Pour moi, c’est un acte d’amour. Quand j’ai recommencé à m’organiser, j’ai compris que je me rechoisissais.

Quand l’organisation disparaît…

Lorsque j’ai traversé ma plus grande tempête intérieure, tout est devenu flou. Je n’arrivais plus à planifier, à anticiper, à prioriser. Mon énergie se dispersait dans tous les sens. Ma maison était un miroir de mon chaos intérieur. Et pourtant, j’avais été cette fille qui adorait les listes, les plannings, les carnets !

… le désordre s’installe

Ce n’était pas juste du désordre matériel. C’était un désordre émotionnel. Trop de pensées, trop de choses à faire, pas assez de place pour respirer. Je me sentais coupable, dépassée, inutile.

Le retour à soi par l’organisation

Le jour où j’ai repris mon carnet, quelque chose a changé. Je n’ai pas commencé par tout révolutionner. J’ai juste listé trois choses importantes pour moi ce jour-là. Et j’ai senti une première étincelle de clarté. Puis j’ai ajouté un rituel du matin. Une routine du soir. Un espace pour mes émotions. Une intention pour la semaine.

L’organisation devenait un soin. Un ancrage. Une façon de me dire : « Je compte. »

Pourquoi je crois à l’organisation comme acte de guérison

Aujourd’hui, j’enseigne une organisation vivante, douce, intuitive. Une organisation qui ne vise pas à « tout maîtriser », mais à se remettre au centre de sa vie. Parce que quand tu recommences à poser des limites, à prioriser tes besoins, à créer du temps pour toi… tu reprends ton pouvoir.


Et si ton premier pas vers la paix, c’était simplement de te choisir dans ton agenda ?

Quand tu n’arrives plus à avancer malgré tes efforts

Quand tu n’arrives plus à avancer malgré tes efforts

l y a des jours où tu donnes tout… mais rien ne bouge. Tu relis tes notes de coaching, tu appliques les conseils, tu te lèves tôt, tu essaies de rester positive. Et pourtant, tout semble figé.

Pourquoi ça bloque vraiment

Souvent, ce n’est pas que tu n’en fais pas assez. C’est que ton énergie est encore coincée dans le passé : des blessures non digérées, des croyances anciennes, une peur d’échouer (ou même de réussir).

Ce que j’ai appris

J’ai longtemps cru qu’en travaillant plus dur, j’allais enfin débloquer ma vie. Mais la vérité, c’est que ce qui m’a libérée, ce n’était pas “faire plus”. C’était m’arrêter. Écouter. Reconnaître mes blocages au lieu de les fuir.

Le pas que tu peux faire aujourd’hui

Prends un carnet. Écris : “Qu’est-ce que je redoute vraiment si j’avance ?” Laisse sortir tout ce qui vient. Tu seras surprise : derrière la peur, il y a souvent ton plus grand désir.

Tu n’es pas immobile. Tu es en train de reprendre ton élan.

Et si tes émotions étaient tes meilleures alliées ?

Et si tes émotions étaient tes meilleures alliées ?

Pendant longtemps, j’ai eu honte de ma colère. Je croyais que je devais l’étouffer pour être “une bonne mère”, “une femme forte”. Mais j’ai découvert que mes émotions n’étaient pas un défaut : c’étaient des messagères.

Écouter au lieu de fuir

Chaque émotion dit quelque chose :

  • La colère montre tes limites franchies.

  • La tristesse signale un attachement brisé.

  • La peur rappelle que tu veux être en sécurité.

Comment les transformer

La clé n’est pas de les refouler, mais de les traverser. Écrire, respirer, crier dans un oreiller, danser, prier… Chaque geste de libération ramène ton énergie à toi.

L’outil simple que j’utilise

J’ai créé une page dans mon carnet : “Message de mon émotion”. Quand je sens une vague, j’écris son message. Puis je note : “Merci. Je choisis maintenant…”


Tes émotions ne t’éloignent pas de toi. Elles te ramènent à ton essentiel.

Reprendre confiance après une relation toxique

Reprendre confiance après une relation toxique

Sortir d’une relation toxique, c’est comme se réveiller d’un long cauchemar. Tu respires à nouveau… mais la confiance est partie. Tu doutes de tout : des autres, de toi, même de tes propres choix.

Étape 1 : reconnaître la blessure

Ce n’est pas “ta faute”. Tu as vécu des manipulations, des mensonges, des humiliations. Reconnaître que tu as été blessée, c’est déjà reprendre ton pouvoir.

Étape 2 : reconstruire avec douceur

Commence par des promesses simples à toi-même. Par exemple : “Je me choisis chaque matin.” Tiens-les. Ce respect de ta parole intérieure devient la base de ta confiance.

Étape 3 : oser à nouveau

Petit à petit, tu peux ouvrir la porte à de nouvelles expériences, sans pression. Pas besoin de tout donner tout de suite. La confiance se rebâtit comme une maison : brique après brique.

Ta confiance n’est pas perdue. Elle attend simplement que tu la réclames.